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Belle statue le long de la rivière et au pied des sentiers jusqu'à la Bastille. Près de nombreux pubs et pizzerias, il faut absolument passer à pied à Grenoble
Le sculpteur grenoblois Sappey, connu pour cette sculpture symbolisant le Drac et l'Isère, nous ouvre le chemin d'un promenade sur les quais ou vers la Bastille par l'escalier à proximité vous donnant accès au Musée Dauphinois, aux anciennes universités Dolomieu et ensuite, à la Bastille. Prenez le temps de savourer une boisson sur la place où plusieurs cafés vous accueillerons sous un soleil bienvenu en hiver et au printemps.
Lieu que je visite régulièrement maintenant que j'habite à Grenoble, ici vous pouvez trouver une des entrées pour pouvoir monter à la Bastille, également l'un des meilleurs points de toute la ville où l'on peut voir les derniers rayons de soleil à coucher de soleil
C est plus que la fontaine c est tout le quartier Saint Laurent, véritable patrimoine de la région et l accueil chaleureux de quelques commerçants ou j ai pu m y rendre pour y déposer mes affiches. Je suis auteure d 1er livre 'une histoire de la mafia Grenobloise il est au édition le livre et la plume. C est un hommage à tous ces hommes d honneurs qui de leurs faits on en a fait un mythe. La mafia Grenobloise Et pour la petite histoire la boulangerie qui se trouve à côté de la fontaine du lion et une pépite d or. J ai su que de grands voyous arrivaient à se cacher dans les grottes de la bastille pour pouvoir échapper aux forces de l ordre. A visiter, acheter ce livre.
Commandée par la ville de Grenoble en 1839 à Victor SAPPEY, cette fontaine réalisée en pierre de Sassenage et bronze, est inaugurée en 1843 au pied de la Bastille sur la rive droite de l’Isère. Ce thème de l'affrontement du lion et du serpent semble inspiré d’un vieux dicton dauphinois: « La serpen et lo drago/Mettront Grenoblo en savon ». En effet, dans la mythologie locale, la lutte entre le serpent, symbolisant l’Isère ondulant dans la plaine du Grésivaudan, et le dragon, incarnant le torrent impétueux du Drac, s'accomplit aux dépens de la ville puisque cent cinquante inondations ont ravagé Grenoble de l'époque romaine au début du XIXe siècle.